Haïti : 82 % des haïtiens exigent le recours à la peine de mort contre les puissants bandits

En Haïti 🇭🇹, sous l’impuissance et la complicité des autorités haïtiennes (premier ministre, ministres, juges, parlementaires, politiciens traditionnels), les groupes de bandits armés sèment la pagaille et arrivent à bloquer la partie septentrionale et méridionale de la zone métropolitaine de Port-au-Prince depuis plusieurs années. Ces puissants groupes de bandits protégés par le régime politique actuel sont impliqués dans de nombreux cas d’assassinat, de kidnapping, de vols, de spoliation, de viols, de perturbation de l’ordre public. Cet article essaie d’analyser la perception des citoyens haïtiens (plus de 17 ans) sur leur compréhension de la situation insécuritaire du pays et le recours à la peine de mort. C’est quoi la peine de mort ? Comment la communauté internationale perçoit la peine de mort ? Quelles sont les méthodes d’exécution liées à la peine de mort couramment utilisées dans le monde ? Quel est le pourcentage d’haïtiens exigeant le recours à la peine de mort contre les puissants bandits matériels et intellectuels ? Pourquoi les États-Unis d’Amérique et le Japon n’abolissent pas la peine de mort alors qu’ils ordonnent aux pays d’abolir la peine de mort ? [Lire la suite sur] 👇

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Comment éviter l’entrée des élus analphabets au parlement d’Haïti ?

La question des députés et sénateurs analphabets siégeant dans le parlement d’Haïti est un problème criant qui s’observe au vu et au su de tous en Haïti. Alors que la mission principale des députés et sénateurs sont d’après la législation haïtienne de légiférer et de contrôler les actions du gouvernement, il y a même des députés et sénateurs qui ne savent ni lire ni écrire au parlement haïtien depuis le régime constitutionnel de 1987 à nos jours (Février 2022). Comment feront-ils pour produire des lois, analyser les propositions de lois et surtout contrôler les actions gouvernementales via l’analyse des rapports et des projets ? Incroyable mais vrai ! Pour nous autres, ce problème doit être résolu à la base, c’est-à-dire, dans la législation haïtienne (constitution, loi électorale, statuts des partis politiques, etc.). Ainsi, comment éviter la prise du pouvoir législatif haïtien par non seulement des analphabètes, mais des citoyens alphabets moins aptes au développement durable d’Haïti ? En réalité, cet article ne rentre pas dans une dynamique de discrimination des analphabètes. Loin delà ! Au contraire, il essaie d’analyser la place optimale de chaque citoyen dans la structure de développement d’Haïti. Car, de même qu’il serait absurde que des agronomes remplacent les ingénieurs civils, des médecins remplacent les gestionnaires dans l’administration des hopitaux, des biotechnologistes remplacent les infirmières, il en est de même inconcevable pour des citoyens analphabets de remplacer des citoyens alphabets ainsi que des citoyens inaptes de remplacer les citoyens mieux aptes. Ce serait déjà un chaos pour l’avenir méritocratique de la jeunesse. Car, si on se base sur la définition du développement durable qui se définit comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs » (Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien, 1987 cité dans INSEE, 2016), on verra bien ce système d’exploitation suscitera une lassitude chez les jeunes haïtien à devenir des professionnels qualifiés, ce à cause du système qui ne favorise pas les plus doués, aptes et éthiques… [Lire la suite sur] 👇

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