Haïti : Jean Charles Moïse seul face à la contrefaçon et au ballon d’essai

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La contrefaçon et le phénomène du ballon d’essai se répandent partout dans le monde mais impactent surtout les États en faillite ou à instabilité politique, socioéconomique et environnementale. Si dans un premier temps, la contrefaçon n’avait aucun rapport avec le phénomène du ballon d’essai, de nos jours, elle est devenue une stratégie du ballon d’essai. À cet effet, la contrefaçon est utilisée en production commerciale, en production technologique, en politique, etc. Quant à cet article, il s’intéresse surtout à la contrefaçon et au ballon d’essai en politique. Alors que cet article n’a rien de partial, il traite particulièrement de la contrefaçon de l’idéologie politique de Moïse Jean Charles y compris de son discours de gauche et anti-impérialiste.

En production industrielle et dans l’industrie commerciale, certains acheteurs subissent la contrefaçon en achetant un faux produit ou service alors qu’ils croient acquérir un produit original ou service de qualité (Krémer, et al., 2008). En conséquence, ils sont victimes des contrefacteurs commerciaux. En tant que mauvaise pratique, la contrefaçon représente à lui seul 2,5 % du commerce mondial et constitue un danger pour les consommateurs et une perte pour les producteurs originaux (Le portail de la direction générale des douanes et droits indirects, 2023a ; Le portail de la direction générale des douanes et droits indirects, 2023b & Krémer, et al., 2008). Eu égard à INPI (S.d.), la contrefaçon se définit comme la reproduction, l’imitation ou l’utilisation totale ou partielle d’un droit de propriété intellectuelle sans l’autorisation de son propriétaire.

Il est pareillement en politique, parfois, des électeurs subissent la contrefaçon en élisant un faux politicien tandis qu’ils croient élire la bonne personne. En ce sens, les citoyens sont malheureusement victimes des contrefacteurs politiques à cause de leur ignorance et immaturité. Pour mieux comprendre la contrefaçon, on peut prendre l’exemple de deux mots : leader et dealer. Entre ces deux mots, il n’y a aucune lettre qui manque au leader et au dealer. Car, ils ont non seulement le même nombre de lettres mais aussi les mêmes lettres, c’est-à-dire, la même composition physique. Toutefois, bien qu’ils ont les mêmes lettres, le leader n’a pas la même finalité avec le dealer. En effet, l’un est une bonne aptitude morale alors que l’autre constitue un comportement immoral puni par la législation haïtienne et les conventions internationales. Dans cette optique, comment mettre la contrefaçon politique en œuvre ?

Ballon d’essai en politique

Pour mettre la contrefaçon en place, il y a aussi des mécanismes à mettre en œuvre. Ces mécanismes utilisent préalablement en politique la stratégie du ballon d’essai. Initialement, le ballon d’essai constituait de petits ballons lancés pour connaître la direction du vent (Petit Robert). Au sens figuré, un ballon d’essai se veut une expérience que l’on tente pour sonder les dispositions des gens, du public. Ainsi, USITO définit le ballon d’essai comme une expérience menée afin de sonder l’opinion des gens, d’étudier leurs réactions. Haïti depuis l’assassinat du dernier président d’Haïti, Jovenel Moïse, qui devait organiser les élections un après sa mort plonge dans une crise multidimensionnelle à nulle autre pareille. À la base de cette crise, il existe un combat pour la prise ou la reprise du pouvoir. Pour ce faire, comme tout chemin mène à Rome, certains s’usent de toute méthode malicieuse et criminelle pour atteindre l’objectif final peu importe que toute les cinq prochaines générations haïtiennes paieront les frais de cette vaine lutte acharnée pour le pouvoir par des moyens non démocratiques et immoraux. À cet effet, le moyen complémentaire le plus sûr pour concrétiser ce manifeste demeure le phénomène du ballon d’essai que nous expliquons là-dessous.

Pour comprendre la situation de ballon d’essai qui prévaut dans la politique haïtienne actuellement, il faut remonter à Roche (2018). Car, il considère d’abord le ballon d’essai comme une tactique pouvant être utilisée par un vis-à-vis lorsque ce dernier éprouve des difficultés à cerner la manière de penser de son vis-à-vis face aux arguments qu’il avance. Par ailleurs, Dulary (2020) résume le « ballon d’essai » à une stratégie de communication politique. Pour illustrer, il confirme que les hommes et femmes politiques nous ont habitués à lancer des « ballons d’essai » en politique en utilisant les médias. Car, à son égard, cette stratégie est clairement identifiable si l’on prête un peu attention à la manière dont la classe politique traite les sujets polémiques dans les médias. Si en communication politique, elles sont rares les choses qui sont laissées au hasard, la tactique de ballons d’essai très courante actuellement en Haïti doit susciter des questionnements. À la lumière de Duraly (2020), je me demande pourquoi le lancement d’autant de ballons d’essai en Haïti :

  • Est-ce pour tester une idée dans l’opinion publique ou pour observer et mesurer la virulence des réactions avant de prendre la véritable décision politique contre la population haïtienne ? Je dis contre puisque rien n’a changé en Haïti depuis des décennies si non que certains dirigeants deviennent plus millionnaires et d’autres multimillionnaires alors que la majorité des haïtiens vivent en dessous du seuil de pauvreté.
  • Est-ce également l’occasion de remettre un sujet au cœur du débat public en Haïti. En créant la polémique, l’attention des médias et de l’opinion publique est attirée. Pour autant, la « cacophonie » (réelle ou simulée) fait passer l’idée que la décision finale n’est pas encore prise, et que l’heure est au débat et aux discussions.
  • Ou du moins, est-ce une stratégie de communication servant de « contre-feu », c’est-à-dire pour détourner l’attention de la population haïtienne sur la réalité. Car, il est connu de tous que le sujet de l’assassinat du président Jovenel Moïse implique trop de personnes et embarrasse trop. En ce sens, il n’est pas rare qu’une polémique soit lancée sur un sujet clivant, mais très éloigné. Le nouveau sujet fait réagir et parler, chacun donnant sa position. Ainsi, l’espace médiatique est occupé.
  • En somme, est-ce que le lancement de ces ballons d’essai vise directement à affaiblir Jean Charles Moïse qui est si populaire pour gagner les prochaines joutes électorales en Haïti ? Pourquoi lance-t’on sur la scène politique haïtienne autant de politiciens comme s’ils étaient rien que des ballons ? Est-ce dans le but de trouver un seul qui peut vaincre Jean Charles Moïse sans avoir réellement l’intention de mettre en œuvre la politique qu’ils ont plagiée de Jean Charles Moïse ?

Étude de cas : contrefaçon de la politique de Moïse Jean Charles

Qu’ils soient partisans ou adversaires politiques de Jean Charles Moïse, ils sont tous unanimes à reconnaître le poids et le leadership de sa politique en Haïti. Le nom de Jean Charles Moïse fait tellement de débats dans les médias et lieux publics qu’on a l’impression qu’il n’en reste aucun autre politicien crédible dans le pays. Certains vont jusqu’à demander pourquoi il y a autant d’attentes au sujet de ce leader politique. Est-ce le produit d’une aussi forte confiance du peuple et même des adversaires politiques à l’égard de l’homme politique de Gauche ? Est-ce le produit de son émancipation politique ? Car, il vient de la classe paysanne haïtienne et se fait une réputation progressivement avec fierté. D’autres se demandent pourquoi la population, la classe politique haïtienne et les médias surveillent beaucoup plus les actions de Jean Charles Moïse en guise des actions des personnalités politiques au timon des affaires du pays. Mais, pourquoi Moïse Jean Charles semble, depuis une décennie, gouverner toutes les mentalités d’Haïti ?

Au cours de la dernière décennie (2012 à 2022) jusqu’à nos jours, Jean Charles MOÏSE devient le leader politique d’Haïti le plus populaire et le plus instrumentalisé dans les animations fabuleuses sur les réseaux sociaux. Toutefois, depuis le soulèvement du 22 août 2022 lancé par Jean Charles Moïse, de nombreux secteurs de l’aile oligarchique économique et politique en Haïti font de lui leur principal concurrent alors que le peuple haïtien le considère comme leur véritable et unique sentinelle face au système d’exploitation installé dans le pays depuis plusieurs centaines d’années. Ce rappel vous permettra de remonter aux principaux faits qui expliquent le ballon d’essai et la contrefaçon de la politique de Jean Charles Moïse.

Pour la petite histoire, ce soulèvement du 22 août 2022 dont il a lancé tient son origine suite à la cherté de la vie, l’insécurité, la mauvaise gouvernance, la corruption, la dollarisation du pays via les banques traditionnelles, l’inflation galopante, la vente du carburant au marché noir, le kidnapping, etc. Dans un premier temps,  le porte étendard de ce soulèvement exigeait l’organisation des élections démocratiques en Haïti, lesquelles élections ne sont organisées depuis plusieurs années. Malheureusement l’aile oligarchique corrompue, la communauté internationale et des politiciens sans scrupules ni patriotisme ne cherchent pas à comprendre que l’organisation des élections est la base de la démocratie et de la stabilité politique et économique. Depuis la fin du mois de juillet 2022, le peuple lutte pour chambarder ce système d’exploitation. Toutefois, en guise d’essayer de changer leurs comportements déloyaux, injustes et illégaux, les banques, les entreprises commerciales et des personnalités politiques logées en Haïti s’en prennent à Jean Charles Moïse. Fort de cela, la coupe du monde de football ayant lieu en 2022 au Qatar allait baisser le feu de la mobilisation pendant qu’Haiti continuait à faire face à une crise systémique d’ordre sociopolitique et économique.

Suite à l’envenimation de la crise politique, sociale et économique d’Haïti suivie du la prolifération du nombre de kidnapping, des criminalités et du banditisme régnant partout dans le pays, un mouvement populaire baptisé “Bwa Kale” allait prendre naissance dans le pays pour combattre le phénomène de banditisme et de kidnapping dans le pays. Quelques temps plus tard, une tonne de sanctions venant de la communauté internationale allait tomber sur des politiciens, dont du Canada, des États-Unis, de la République Dominicaine, etc. Alors que Jean Charles Moïse était déjà très populaire pour gagner les élections, les sanctions que subissent la quasi-totalité des femmes et hommes politiques haïtiens de la présente génération pour mauvaise gouvernance, criminalités, corruption, blanchiment d’argent et association de malfaiteurs laissent le champ libre à ce dernier.

En ce sens, nos observations confirment la popularité de Jean Charles Moïse. Car, nos constats montrent que le fait de parler de Moïse Jean Charles revêt un astuce pour augmenter la popularité des nombreux personnages, journalistes, et politiciens peu populaires et en gestation en Haïti. Pour comprendre ce fait, il est de bon ton de ne pas placer cette stratégie de communication seulement dans le contexte haïtien. Car, dans de nombreux pays, les gens peu populaires utilisent souvent des astuces pour croître leur degré de popularité ou à des fins d’enrichissement illicite. Ainsi, la question d’influence devient une bataille à acharnement. Certains sont capables de salir leur réputation politique et morale en vue de salir l’image d’un compagnon. C’est la loi du profit économique et médiatique contre le profit éthique et intègre. En Haïti, depuis plus d’une décennie, Moïse Jean Charles s’impose dans les médias traditionnels et en ligne grâce à ses discours, slogans, idéologies et prédictions pour certains, mais prophéties pour d’autres.

La contrefaçon que Jean Charles Moïse subit actuellement s’explique par la teneur de son idéologie de gauche et de son caractère nationaliste, patriotique et éthique. Il est clair et précis dans son discours qu’il prône une idéologie de gauche qui place le peuple avant tout. Considérant que la partie adverse est à bout de compétiteurs et de politiciens intègres au rythme de Jean Charles Moïse, ils ont procédé par le ballon d’essai et la contrefaçon politique. Par partie adverse, nous entendons les partis politiques de droite haitiens, des organismes de la société civile et l’Occident à travers leurs ambassades, leur ONG et leur coalition sous différentes dénominations, dont le Core Group, la CARICOM, l’OEA, l’ONU, etc. Dans un premier temps, ils ont envoyé plusieurs politiciens comme des ballon d’essai pour prendre la pression électorale haïtienne. Jusque-là, certains ont été catégoriquement rejetés par la population sous menace de les passer sous les roues du phénomène BWA KALE. D’autres ont été sanctionnés par leurs maîtres de l’Occident pour corruption, criminalités, blanchiment d’argent, association de malfaiteurs, etc. Face à cette rareté de politiciens intègres en Haïti, il a fallu chercher les mêmes propriétés du leader Jean Charles Moïse chez n’importe qui, qu’il soit honnête ou malhonnête, qu’il soit un criminel commettant de graves délits ou pas rien que pour contrefaire un leader que le système ne possède pas. Mais, qui est Jean Charles Moïse pour être victime d’autant de contrefaçons et de ballons d’essai ?

Pourquoi Jean Charles Moïse est-il victime autant de la contrefaçon politique et du phénomène de ballons d’essai ?

D’abord, pour comprendre pourquoi Jean Charles Moïse est victime d’autant de contrefaçons politiques et du phénomène de ballons d’essai, il faut le placer comme le leader du Parti Politique Pitit Dessalines (PPPD). Ce parti se repose sur trois (3) piliers : Souveraineté, Solidarité et Prospérité. Ces trois (3) Piliers correspondent respectivement aux Secteurs Politique, Social et Économique d’Haïti. Car, la vision stratégique du Parti Politique Pitit Dessalines (PPPD) vise à conduire la République d’Haïti vers :

  • la reprise du contrôle total et effectif du territoire national dans toutes ses dimensions par l’institutionnalisation de tous les pouvoirs de l’État central et des Collectivités Territoriales à travers la gestion ouverte, rationnelle et transparente des affaires de l’État, l’effectivité de la Décentralisation, de la Déconcentration et la mise en place d’une Diplomatie Transcontinentale et Souveraine ;
  • la cohésion sociale par la mise en œuvre de politiques publiques de protection et de sécurité sociales, d’éducation, d’équité de genre et de culture;
  • le reclassement d’Haïti passant d’un des pays les plus pauvres du monde à un des pays émergents par le redémarrage et la dynamisation de l’économie nationale à travers l’application d’une Politique Économique Mixte Solidaire Planifiée et Financière à Croissance Accélérée susceptible de développer et/ou renforcer la Production Nationale Multifilaire-sectorielle et Solidaire dans une [Approche Stratégique Basée sur la Croissance Économique Ternaire à Effet Multiplicateur de Création et de Redistribution Équitable de Richesse].

Face au lancement de ballons d’essai à l’encontre de Jean Charles Moïse et surtout par rapport à la contrefaçon de sa politique et de son idéologie, on se demande est-ce que son orientation de gauche a quelque chose à voir avec la peur ressentie chez la partie adverse. Car, il n’est nullement un secret que Jean Charles Moïse opte pour un monde ouvert et ne cache pas ses désirs d’établir de forts rapports diplomatiques entre Haïti et la Russie, la Chine et les pays du Sud.

Qui est Moïse Jean Charles ?

Moïse Jean Charles est né le 20 avril 1967 sur l’habitation dénommée «Baryè Batan» dans la commune de Milot, dans la partie septentrionale d’Haïti, la seule commune ayant un patrimoine historique mondial. Issu d’une famille paysanne, Jean Charles est le cadet de sa famille, un enfant paisible, toujours souriant, curieux, très intelligent et perspicace. Pour certains, il est timide et observateur. Jean Charles est un homme qui croit dans l’institution familiale. Il est marié et père de six enfants. Il sait toujours maintenir l’équilibre entre ses obligations familiales et ses engagements dans la lutte pour un changement profond et véritable en Haïti, raconte-t-il.

Jean Charles MOÏSE a fait ses études classiques à l’École Nationale d’Application de Milot et au Lycée Philippe Guerrier du Cap-Haïtien. Aimé de son entourage, ses parents n’avaient pas à se soucier trop de lui pour ses études, d’autant que les gens du voisinage lui achètent à compétition ses matériels scolaires.

Tant il est adorable, on l’appelle, « le petit Moïse ». Après ses études classiques, Jean Charles entre à la capitale haïtienne où il fait une première partie de ses études universitaires à l’Université Adventiste de Diquini d’Haïti, UNAH, en sciences comptables.

Ensuite, il se rend à Cuba pendant la période du coup d’État contre l’ancien président Jean Bertrand Aristide pour des études en Communication Politique à « Centro de Estudio Para América Latina ». Bon nombre de ses camarades en Amérique latine ont brigué le poste de président, chacun en sa patrie respective.

Aujourd’hui encore, il y en a qui sont présidents, Sénateurs et Ministres dans leurs pays respectifs. Le Sénateur a reçu le vote de confiance de deux cents pays pour représenter Haïti en février 2013 à la tribune des Nations Unies lors d’une conférence où il a présenté un brillant discours.

Jean-Charles Moïse est élu personnage de l’année du Brésil en 2013, ce, après des votes sur une liste de soixante-trois personnalités sur laquelle figurait le nom de l’ancien président Américain, Barack Obama.

Après ses études à Cuba, le très jeune socialiste a décidé de mettre ses capacités et connaissances au service de son pays. Il est membre du Groupe Haïtien de Recherche et d’Action Pédagogique, GRAHP, dans le Nord. En 1996, il a fondé FOKAL: “FONDASYON KONESANS AK LIBÈTE”.

Jean Charles a brigué trois mandats comme Maire Principal de la Commune de Milot. Il mène ses combats avec plus de stratégie grâce à ses acquis en diplomatie, en relations internationales et ses formations continues dans différents pays de l’Amérique latine.

Il a été nommé conseiller politique spécial du feu Président René Garcia PREVAL. Il a été aussi Vice-président de l’Association Mondiale des Maires (AMM).

Jean Charles MOÏSE, grâce à ses combats pour la cause des paysans, a été nommé à titre honorifique, Président de l’Association “EL CAMINO DEL CAMPESINO” (Le chemin du paysan) pour l’Amérique latine, du Sud et les Caraïbes. Il a été élu Sénateur de la République pour la période 2009-2015, pour le Département du Nord, période pendant laquelle, l’élu du Nord a mené de manière constante et cohérente le grand combat contre la corruption et le vandalisme politique du pouvoir de l’époque conquis par des mauvais gouvernants sans scrupules ni patriotisme.

Alors que Jean Charles Moïse est actuellement le seul candidat favori à la présidence haïtienne et au changement du système d’exploitation bicentenaire en Haïti, les partis adversaires et l’Occident ne trouvent pas encore de potentiels candidats qui lui sont de taille. Toutefois, ils n’arrêtent pas encore d’envoyer des ballons d’essai en l’air avec les mêmes propriétés de Jean Charles Moïse afin de créer la confusion chez les citoyens haïtiens. En somme, seule la maturité du peuple haïtien peut faire échec aux ballons d’essai lancés contre Jean Charles Moïse et à la contrefaçon politique qu’il subit actuellement.

Références

Dulary, C. (2020). Le « ballon d’essai » : une stratégie de communication politique. Consulté le 5 janvier 2024 sur Idéal Investisseur.

INPI. (S.d.). Qu’est-ce qu’une contrefaçon ?. Consulté le 5 janvier 2024 sur le portail INPI.

Le portail de la direction générale des douanes et droits indirects. (2023b, 7 juin). Pourquoi la contrefaçon est-elle dangereuse ?. Consulté sur le portail le 7 janvier 2024.

Le portail de la direction générale des douanes et droits indirects. (2023a, 3 juillet). Contrefaçon – Chiffres clés, affaires marquantes 2022 et conseils pour se prémunir. Consulté sur le portail le 6 janvier 2024.

Krémer, K., Viot, C., Le Roux, A. & Poncin, I. (2008). Les consommateurs face à la contrefaçon : une comparaison entre Belges et Français. Reflets et perspectives de la vie économique, 2, 62-70.

Roche, D. (2018). Le ballon d’essai, une tactique qui permet d’en savoir davantage. Consulté le 4 janvier 2024 sur la revue de gestion de HEC Montréal.

USITO (S.d.). Ballon d’essai. Dans USOTO : UDS le dictionnaire.

ÉDITEUR / ÉDITRICE

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Marc-Donald VINCENT
Marc-Donald Vincent est spécialiste en gestion de projets. Il a obtenu une licence en sciences agricoles de l'Université Chrétienne du Nord d’Haïti (UCNH) en 2016, un diplôme d’études supérieures spécialisées (D.E.S.S.) en gestion des projets d'architecture et d'aménagement en 2020 et une maîtrise (M.Sc.A) en gestion de projets en 2021 de l'Institut des Sciences, desTechnologies et des Études Avancées d'Haïti (ISTEAH). Après son stage de recherche au Laboratoire de recherche en réseautique et informatique mobile (LARIM) de Polytechnique Montréal, il poursuit sa recherche doctorale en sciences de la gestion en Haïti à l'ISTEAH. Sa thèse doctorale porte sur les facteurs de succès et de sous-performance des projets publics mis en œuvre dans les pays à revenu faible et intermédiaire, cas d'Haïti. Aussi, Marc-Donald Vincent est président du Centre de Recherche Intégrée et Scientifique d’Haïti (CRISH) et du journal Le Scientifique promouvant la recherche scientifique en Haïti.
https://www.lescientifique.org