Les secteurs politique et économique ne devraient-ils pas rejoindre Jean Charles Moïse en Haïti ?

Haïti : En conditions normales et classiques, tous les partis politiques, leaders politiques, membres du secteur privé des affaires, l’élite intellectuelle d’Haïti et les membres influents de la communauté internationale (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni, Union européenne, Russie, Chine) devraient rejoindre non pas la personne de Jean Charles Moïse mais son orientation politique qui s’apparente purement au nationalisme et socialisme. En dépit des contradictions, les parties prenantes de la crise haïtienne devraient nécessairement comprendre que l’orientation politique de Jean Charles Moïse est la plus adaptée et désirée actuellement par la population haïtienne. Car, après de nombreuses prises de position nationale et internationale, considérant les nombreux mouvements de soulèvement lancés et réussis dans quasiment tous les départements géographiques d’Haïti, vu les différents sondage plaçant Jean Charles Moïse en tête des intentions de vote pour les prochaines élections présidentielles en Haïti, conscients de sa popularité en dessus de tous les leaders politiques haïtiens, Jean Charles Moïse devient le leader politique le plus prometteur et non négligeable en Haïti. Pourquoi paraît-il sensé que tous les partis politiques, leaders politiques, membres du secteur privé des affaires, l’élite intellectuelle d’Haïti et les membres influents de la communauté internationale devraient rejoindre l’orientation politique de Jean Charles Moïse ? Jean Charles Moïse a-t’il fait le premier pas ou mérite-t-il d’en faire plus ?

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L’OEA reconnaît son échec en Haïti et sa création de gangs dans le pays

Alors qu’Haïti s’adhère à l’OEA depuis 1948 et à l’ONU depuis 24 octobre 1945, aujourd’hui fait encore 22 ans depuis les dernières interventions des forces de l’Organisation des Nations-Unies (ONU) en Haïti sous plusieurs dénominations (MINUSTAH, MINIJUSTH, BINUH formellement et Core Group dans l’informel). Malgré tout, le taux de pauvreté et de criminalités croit cumulativement en Haïti comme la mauvaise herbe au point que trois présidents d’Haiti (René Garcia PREVAL,  Jean Claude Duvalier & Jovenel MOISE) sont morts dans des situations douteuses sous la période d’intervention de l’ONU en Haiti. Dans cette optique, l’Organisation des États américains (OEA) a accusé ce lundi 8 août 2022 la communauté internationale et les forces internes haïtiennes de la crise institutionnelle en Haïti. Si l’on considère la première mission d’observation de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), en décembre 1990, apportant son soutien à un processus électoral haitien en dehors des cadres classiques de la décolonisation ou du règlement d’un conflit, on peut déduire qu’Haiti est sous la colonisation de l’ONU depuis Vingt-deux (22) ans. En préambule, il est à mentionner que l’ONU possède meme un syndicat en Haiti denommé « Core Group ». Ce dernier est composé des Ambassadeurs d’Allemagne, du Brésil, d’Espagne, des États-Unis d’Amérique, de la France, de l’Union Européenne, ainsi que du Représentant spécial de l’Organisation des États Américains et de la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies. Pourquoi l’Organisation des États américains (OEA) a accusé la communauté internationale et les forces internes haïtiennes de la crise institutionnelle en Haïti ? [Lire la suite sur] 👇

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Haïti : 82 % des haïtiens exigent le recours à la peine de mort contre les puissants bandits

En Haïti 🇭🇹, sous l’impuissance et la complicité des autorités haïtiennes (premier ministre, ministres, juges, parlementaires, politiciens traditionnels), les groupes de bandits armés sèment la pagaille et arrivent à bloquer la partie septentrionale et méridionale de la zone métropolitaine de Port-au-Prince depuis plusieurs années. Ces puissants groupes de bandits protégés par le régime politique actuel sont impliqués dans de nombreux cas d’assassinat, de kidnapping, de vols, de spoliation, de viols, de perturbation de l’ordre public. Cet article essaie d’analyser la perception des citoyens haïtiens (plus de 17 ans) sur leur compréhension de la situation insécuritaire du pays et le recours à la peine de mort. C’est quoi la peine de mort ? Comment la communauté internationale perçoit la peine de mort ? Quelles sont les méthodes d’exécution liées à la peine de mort couramment utilisées dans le monde ? Quel est le pourcentage d’haïtiens exigeant le recours à la peine de mort contre les puissants bandits matériels et intellectuels ? Pourquoi les États-Unis d’Amérique et le Japon n’abolissent pas la peine de mort alors qu’ils ordonnent aux pays d’abolir la peine de mort ? [Lire la suite sur] 👇

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Echec de l'ONU

22 ans en Haïti, l’ONU augmente la pauvreté et les criminalités

Aujourd’hui fait encore 22 ans d’intervention des forces de l’Organisation des Nations-Unies (ONU) en Haïti sous plusieurs dénominations (MINUSTAH, MINIJUSTH, BINUH formellement et Core Group dans l’informel) mais le taux de pauvreté et de criminalités croit cumulativement comme la mauvaise herbe au point que deux présidents d’Haiti (René Garcia PREVAL & Jovenel MOISE) sont morts dans des situations douteuses sous la période d’intervention de l’ONU en Haiti. Si l’on considère la première mission d’observation de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), en décembre 1990, apportant son soutien à un processus électoral haitien en dehors des cadres classiques de la décolonisation ou du règlement d’un conflit, on peut déduire qu’Haiti est sous la colonisation de l’ONU depuis Vingt-deux (22) ans. En préambule, il est à mentionner que l’ONU possède meme un syndicat en Haiti denommé « Core Group ». Ce dernier est composé des Ambassadeurs d’Allemagne, du Brésil, d’Espagne, des États-Unis d’Amérique, de la France, de l’Union Européenne, ainsi que du Représentant spécial de l’Organisation des États Américains et de la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies… [Lire la suite sur] 👇

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